Rebadge et Hexact anti-copie : Un constat alarmant

Badge Hexact

Certains utilisateurs de l’appareil Rebadge nous ont informés avoir eu un nombre important de retour de copies de badges Hexact non fonctionnelles sans en connaitre précisément la raison.

La méthode de contournement de l’anti-copie de Rebadge n’étant pas fiable, aucun message d’avertissement ne permet à l’utilisateur de savoir si le badge Hexact du client contient un anti-copie.

Contrairement aux explications apportées par le service client de Rebadge, les copies qui ne fonctionnent pas ne sont pas le fait du nombre limité de place dans les centrales, car les centrales d’immeubles Hexact ont une capacité de 26000 badges et l’installateur n’a pas la possibilité de limiter ou de modifier le nombre de badges sur une centrale.

Si nous prenons une centrale Hexact d’une capacité de 26000 badges, pour que la mémoire de cette centralie soit saturée il faudrait équiper un immeuble de 260 étages avec 10 appartements par étage et 10 personnes par appartement, soit 4 fois la tour Montparnasse…

En 2022, Simon Yorkston fondateur de la marque Rebadge et Marc Willame directeur de JMA France, annonçaient respecter la réglementation en refusant  la copie des badges anti-copies, car selon Rebadge et JMA :

« Reproduire un badge anti-copie n’est pas agréé »
(Pour information, Il n’existe aucun organisme d’agrément concernant les badges d’immeubles)

Mais aussi : 

« Préserver la sécurité des immeubles » et « ne pas mettre en danger les particuliers et les utilisateurs de l’appareil Rebadge. »

Nous citons les propos de Simon Yorkston fondateur de l’appareil Rebadge : « Rebadge travaille dans la légalité, c’est pourquoi les badges qui disposent de la norme anti-copie ne pourront pas être dupliqués par nos services »

JMA et Rebadge dans un mail envoyé à leurs clients en date du 06.09.2023, annoncent se lancer dans la copie des badges Hexact anti-copie.

Finalement, selon Rebadge, ce qui était illégal en 2022 est subitement devenu légal en 2023…

Rappelons que Rebadge et JMA avaient officiellement annoncés : « Nous avons à coeur de respecter les normes anti-copies des fabricants…nous refusons de travailler avec les cordonniers et serruriers qui sont prêts à contourner le système… »

Il est important de noter qu’il n’existe aucun organisme d’agrément concernant les badges d’immeubles comme le laisse penser Rebadge et JMA. 

Comment expliquer que d’une part Rebadge et JMA « crée un certificat de conformité » pour les cordonniers et serruriers qui respectent « les normes de sécurité » en refusant la copie des badges anti-copies et d’autre part Rebadge et JMA proposent de copier les badges anti-copies de la marque Hexact ?…

Rebadge et JMA se sont autoproclamé organisme d’agrément.

Nous avons testé la copie des badges Hexact anti-copie sur l’appareil Rebadge, la plupart n’ont pas fonctionnées notamment sur des immeubles avec plusieurs accès, et celles qui fonctionnent présentent un risque de désactivation à court ou à moyen terme.

Hexact faisant partie du groupe Cogelec détenu par Intratone, il est fort à parier que très prochainement des mises à jour seront effectuées sur leurs centrales pour désactiver les copies en circulation.

Rebadge : Les mensonges de Simon Yorkston

Simon Yorkston, résident Français et fabricant des appareils Rebadge et Duplibadge

Le fabricant des appareils Rebadge et Duplibadge est Simon Ross YORKSTON résident Français, mais son entreprise Parklink Development Ltd est située à Hong Kong et ne paie donc pas un euro d’impôt en France.

La société Rebadge prétend être une entreprise éthique, si c’était vraiment le cas, elle ne ferait pas de l’optimisation fiscale et serait immatriculée en France et non à Hong Kong et elle paierait ses impôts en France, là où elle perçoit la plus grande partie de ses revenus.

Précisons qu’à la création de Copybadge, Simon Yorkston fondateur de Rebadge nous a contacté pour nous corrompre en nous proposant plusieurs marchés dont les suivants :

« Ne baissez pas vos prix, alignez-vous sur nos tarifs, car les cordonniers prennent déjà de grosses marges, il est inutile de vendre vos badges à 6,50€. » ou bien : « quel serait votre prix pour arreter de diffuser l’appareil CopyBadge ? »

Offres que nous avons décliné.

Contrairement à Keyfirst que vous avez payé pour qu’ils abandonnent leur projet de fabrication d’un duplicateur de badges.

Nous passerons sur le fait que vous avez contacté l’un de nos distributeurs dont nous ne citerons pas le nom, pour tenter de lui vendre votre appareil et le retourner contre nous avec vos mensonges, d’ailleurs votre partenaire JMA était surpris d’apprendre que vous aviez tenté de vendre votre appareil à leur concurrent direct. Visiblement la loyauté ne fait pas partie du vocabulaire de Simon Yorkston.

Avec tout cela Rebadge prétend être une entreprise éthique ?

Présentation de CopyBadge

Sarl au capital de 30 000,00€ créée en 2020, 5 employés à temps plein dont 3 techniciens dédiés au service technique téléphonique, plus de 1500 clients en seulement 3 ans, l’appareil CopyBadge est recommandé par la FFCM Fédération Française de la cordonnerie Multiservice.

16 distributeurs en France dont la société Silca pour qui la réputation n’est plus à faire, près de 200 000 badges vendus en 2022, avec de telles quantités, il est évident que notre fournisseur n’est pas Ali Baba comme le prétend Rebadge.

Si CopyBadge ne pensait qu’à son profit, contrairement à Rebadge, nous n’aurions pas 3 techniciens à plein temps pour fournir un service technique téléphonique de qualité, nos badges ne seraient pas 40% moins chers que ceux de Rebadge et de Duplibadge, nous ne remplacerions pas gratuitement les badges copiés ou défectueux et nous aurions hébergé notre société dans un paradis fiscal à Hong Kong pour ne pas payer d’impôts en France comme c’est le cas de Rebadge depuis 2016.

Nos badges originaux

Nos badges sont bien des originaux et non des contrefaçons puisqu’ils sont achetés chez les fabricants et nous n’avons jamais caché à nos clients que les puces étaient modifiées, ce qui ne représente pas aux yeux de la loi une contrefaçon.

Remplacer une pièce originale par une pièce compatible n’est pas considéré aux yeux de la loi comme une contrefaçon, si cela avait été le cas, les services juridiques des marques nous auraient poursuivies en justice, ce qui n’est pas le cas !

Nos badges compatibles

Rebadge devrait revoir ses sources, nos badges ne sont pas achetés sur Ali baba et sont bien certifiés CE comme on peut le constater sur le document ci-contre.

Prétendre que nos puces chinoises sont de basses qualités est assez ironique de la part de Rebadge dont la société est immatriculée à Hong Kong, qui fabrique en Chine et dont les badges « prétendument de haute qualité » se cassent avec les doigts comme on peut le voir sur cette vidéo.

A force de vouloir dénigrer les autres on finit par perdre toute crédibilité…

Les badges désactivés par Rebadge

Nous n’allons pas nous étendre là-dessus, visiblement Rebadge est totalement déconnecté de la réalité et de la situation de ses clients, nous n’allons pas citer les dizaines de clients que nous avons dépanné. 

Voici trois clients qui ont bénéficié de ce service après qu’une copie d’un badge Hexact effectuée sur la machine Rebadge a désactivé l’original :

Cordonnerie Ramos Paris 18ᵉ
Cordonnerie 232 Paris 20ᵉ
Euro Services Paris 16ᵉ

Ces trois clients n’avaient pas eu de réponse de la part de Rebadge, ils étaient face à leurs clients, totalement démunis, ils nous ont donc contacté et nous les avons aidés en réactivant les badges des clients. 

Beaucoup de vos clients se reconnaitront dans cette situation

L'anti-copie est dangereux et illégal selon Rebadge

Si copier un badge anti-copie est illégal comme le prétend Rebadge, nous l’invitons à fournir le texte de loi, car le terme illégal implique le fait que c’est pénalement interdit.

L’anti-copie n’est pas une mesure de sécurité comme l’affirme à tort Rebadge, le système anti-copie a été développé par les fabricants des centrales de contrôle d’accès dans l’unique objectif de restreindre la fourniture des badges d’immeuble aux installateurs, syndics et bailleurs.

L’argument de Rebadge qui prétend vouloir préserver la sécurité des immeubles en ne reproduisant que les badges sans anti-copies est clairement fallacieux et tend à ne pas reconnaître le droit à la sécurité pour tous, notamment pour les personnes dont les immeubles ne sont pas équipés d’un système anti copie comme c’est le cas dans 75% des cas.

Pour notre part, nous soutenons que les fabricants ne peuvent imposer un système anti-copie aux résidents, cette démarche doit être faite par les syndics ou bailleurs, d’ailleurs la marque Urmet 1er groupe en France apporte des précisions à ce sujet.

L’article est disponible sur le site d’Urmet cliquez sur Syndic/Copropriétaire  et ensuite sur Vous n’êtes pas satisfait de la sécurisation par badge.

Nous citons Rebadge : « Concernant le sujet d’anti-copie…Nous ne mettrons jamais les serruriers ou les particuliers dans une situation dangereuse » 

Puisque Rebadge et Duplibadge sont deux machines fabriquées par Simon YORKSTON et que vous tentez maladroitement de copier les badges anti-copie sur l’appareil Duplibadge, vous acceptez donc de mettre les serruriers qui utilisent l’appareil Duplibadge et les particuliers dans une situation dangereuse…

Par ailleurs vous dites que vous êtes prêts à refuser de travailler avec les cordonniers et serruriers qui sont prêts à contourner le système anti-copie, les professionnels qui utilisent l’appareil Duplibadge ne sont donc pas vos clients ? Pourtant, la Duplibadge est bien votre appareil puisque vous le fabriquez.

Où en sont vos négociations avec Intratone ? Il faudrait peut-être les prévenir que vous négociez avec eux, car ils n’ont visiblement pas l’air d’être au courant…

Lire le document officiel d’Intratone

Rebadge & Duplibadge

Comme nous pouvons le constater sur ces deux photos, l’une est de l’appareil Duplibadge et la seconde de l’appareil Rebadge, il s’agit bien de deux appareils identiques équipés d’un RaspBerry PI 3 modèle B V1.2 à 65,91€ HT.

L'appareil CopyBadge

Il est intéressant de préciser que Rebadge et les commerciaux de ses partenaires après avoir longuement tenté de dénigré l’appareil CopyBadge auprès des cordonniers et des serruriers, mais à finalement décidé de sortir une version mobile (Rebadge mobile et Duplibadge mobile) de son appareil basé sur un smartphone Chinois…

Le pseudo réseau Rebadge

Rebadge prétend détenir le plus grand réseau, néanmoins lorsqu’on y regarde de plus près, voici quelques exemples de clients inscrits sur leur carte Maps.

CordonnerieJeanP
34 av Pablo Picasso 92000 Nanterre
Particulier
5 Claude Bernard 92000 Nanterre
Cordonnerie pas cher 
5 Av Ambroise Rendu 75019 Paris
Corsa Cordo
75015 Paris
DAC81
87 bd de Grenelle 75015 Paris
Le cordonnier sans clés
75014 Paris

Il est intéressant de noter que sur la carte maps des boutiques de Rebadge, se mêlent les boutiques Rebadge et Duplibadge, le lien n’est plus à faire. 

Lors d’une recherche sur Google Maps, les adresses en question ne correspondent à aucune cordonnerie ni serrurerie. 

Avant de s’autoproclamer être le plus grand réseau, il serait judicieux de vérifier la réalité de votre réseau.

Conclusion

Simon Yorkston fondateur de Rebadge et de Duplibadge est très contrarié, car nous avons réussi, par la force de notre travail, à récupérer en seulement deux ans une grande partie de sa clientèle déçue par la qualité de ses produits et de son service après vente, à nous entourer de 16 distributeurs que Rebadge et JMA ne pourront jamais dénigrer. Simon Yorkston fabricant des appareils Rebadge et Duplibadge avait le monopole et se sentait invulnérable, aujourd’hui il en est réduit à nous surveiller, nous copier et à nous dénoncer auprès des marques comme Intratone.

Nous n’avons jamais laissé l’un de nos clients en difficulté et ce ne sont pas les témoignages qui manquent, dont celui de la cordonnerie Eugénie de Biarritz.

Nous n’allons pas répondre à l’ensemble des accusations publiées par Rebadge, nous préférons consacrer notre temps à chercher des solutions et à répondre aux appels de nos clients, plutôt qu’à dénigrer et à attendre comme le fait Rebadge pour ensuite nous copier sans aucune fierté.

Nos clients et vos clients se souviendront de l’histoire d’Intratone en 2021, car après nous avoir copié et malgré nos nombreux avertissements, vous avez décidé de vous vanter dans un mail à l’ensemble de vos clients ce qui n’a pas échappé à la vigilance d’Intratone qui a effectué une mise à jour quelques semaines plus tard.

Nous avions ensuite sorti le badge V2Black permettant de contourner cette mise à jour, vous n’avez pas manqué d’en informer Intratone.

Les cordonniers ne sont pas dupes, ils ne se contenteront pas de vos promesses comme cela a été le cas durant des années, Rebadge et JMA n’ont pas compris qu’il était inutile de passer son temps à dénigrer leurs concurrents, cela ne vous a servi à rien, vos clients attendent des solutions concrètes comme nous en avons pu en apporter depuis que CopyBadge est créée.

Notre entreprise est en France, nous payons nos charges sociales et nos impôts en France et comme nos clients, nous participons à l’effort collectif.

Contrairement à Rebadge dont le fondateur Simon Yorkston est résident Français, mais dont l’entreprise située à Hong Kong facture ses badges dans un paradis fiscal à Hong Kong et qui ne paie ni charges sociales ni impôt en France.

À bon entendeur !

Une image vaut mieux que 1000 mensonges

Rebadge – JMA – Appareil Rebadge – Duplicateur de badge Rebadge – Siomon Yorkston – Copieur badge Rebadge